Le snacking content, en clair
Le terme de « snacking content » vous semble certainement complexe, si vous êtes un novice au sein du marketing de contenu web. Mais rassurez-vous, il n’en ai rien ! Effectivement, cette expression renvoie, simplement, à la création de contenu succinct publié sur le web.
Ces contenus, consultés et assimilés rapidement par les internautes, ne doivent contenir qu’entre 250 et 300 mots, autant dire la moitié du nombre de mots moyens au sein d’ un article ordinaire.
Le snaking content comprend notamment, les vidéos, les images, les courts énoncés. Simplement, tout ce qui se trouve être lisible, visible et condensé, afin d’accaparer l’attention du consommateur et surtout la garder.
L’origine de cette stratégie marketing
Le snacking content est apparu pour pallier la surcharge d’informations sur le web.
Cette masse de renseignements se nomme l’infobésité et désigne les effets pathologiques de la consommation excessive d’informations sur les individus.
L’infobésité constitue une véritable problématique et provoque des conséquences considérables et non négligeables.
Effectivement, on note l’apparition du syndrome de fatigue informationnelle.
Ce dernier provoque, entre autre, le détachement, l’inattention, mais également l’angoisse, les pertes de mémoire et le déficit créatif.
Le snacking content émerge, également, afin de compenser le déficit d’attention des internautes. Plus votre message est conséquent, et plus vous risquez de perdre des lecteurs.
Effectivement, avec un contenu supérieur à 500 mots, vous avez perdu plus de la moitié d’entre eux. Usuellement, 79% des consommateurs lisent les articles seulement en diagonale. C’est pourquoi, le snacking content est un outil primordial pour conquérir et enthousiasmer ces derniers.
L’intérêt d’utiliser le snacking content.
Le snacking content devient une méthode incontournable et indispensable dans le domaine du marketing de contenu.
Il s’adapte tout particulièrement au secteur des réseaux sociaux, aux multiples applications mobiles, puisque ce dernier permet une visibilité instantanée.
Capter l’attention du lecteur s’avère être, actuellement, une tâche ardue. Puisque le temps de concentration et d’attention des consommateurs n’est que de 8 secondes en 2015 !
Autrement dit, les internautes ne font qu’effleurer les données et papillonner de contenu en contenu.
Il est, alors, nécessaire d’ être en mesure de trouver instantanément l’information que les lecteurs recherchent.
Et cela sans être assailli par d’autres documentations indésirables et inappropriées.
L’optimisation est la base indispensable du snacking content. L’intérêt est d’attirer avec son efficacité et sa visibilité pour proposer ensuite, aux consommateurs, des articles plus longs.
Les intéresser à votre site, par une interface et un élément ludique et interactif, deviendra un atout considérable pour votre développement.
Cependant, la question de la conception d’informations condensées reste entière.
Alors comment s’atteler au snacking content ?
Élaborer du micro-contenu de qualité.
Qui dit micro-contenu, ne veut pas dire micro-qualité, bien au contraire.
Puisque pour retenir l’attention du lecteur, il est nécessaire de cibler les informations importantes, et pertinentes.
Ceci est incontournable afin de cerner l’essentiel et de ne livrer aux lecteurs que ce dont ils ont véritablement besoin.
L’erreur serait de le noyer dans une masse de documentations inutiles qui ne les feront que fuir.
Vos contenus se doivent d’être créatifs et authentiques pour maximiser votre accessibilité.
Et permettre ainsi aux internautes de savoir, au préalable, ce qu’ils vont obtenir.
Pour construire du micro-contenu de qualité, varier les supports d’information est impératif.
Le snacking content est fréquemment teintés d’humour, afin de retenir, stimuler l’attention des consommateurs et favoriser le partage.
Le snacking content est idéal pour viraliser vos messages, diffuser un contenu percutant à forte portée.
Cependant, ce procédé est exigeant, puisqu’il est indispensable d’être innovant, et stimulant pour se différencier de la concurrence.
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